YEAH YEAH YEAHS - Fever to Tell
sorti le 29 avril 2003 sur Interscope Records
Fever To Tell est tout simplement 40 minutes d’énergie rock n roll.sorti le 29 avril 2003 sur Interscope Records
Ok, bon y’a rien de réellement innovant là-dedans, mais quand on jette une oreille sur ce premier skeud des Yeah Yeah Yeahs, on se rend vite compte que nos 3 musicos de Brooklyn décharge tout ce qu’il peuvent. La bande se lâchent dans une folie punk-garage où il est difficile de ne pas taper du pied ou de lancer un petit déhanché… ne serait-ce que sur des titres comme « Date With A Night »; « Tick » ou le sulfureux «Black Tongue ». Le groupe est cependant loin d’être dénué d’un sens de la mélodie, ce qui donne aux compositions une bonne facilité d’accès, et n’hésite pas à placer des sonorités électroniques sur quelques morceaux (« Rich » ; « Y Control » ; le lumineux et magnifique « Maps »).
La formation est emmenée par la flamboyante chanteuse Karen O, tigresse scénique où sa voix de gamine insolente ferait qu‘on lui collerait bien une bonne fessée… Ses 2 acolytes, le guitariste Nick Zinner et le batteur Bryan Chase, se contentent à coups de riffs et de rythmes simples qui ne les empêchent pas d’être efficace, et boostent les chansons avec une dynamique et un son surprenant pour un line-up aussi minimaliste.
Il sera d’ailleurs regrettable que d’aussi bonnes sensations ne soient pas retrouver dans les albums suivants. Une fâcheuse tendance que l’on contaste dans cette vague de « Revival rock » new-yorkais du début des années 2000 (Interpol, The Strokes, The Bravery,…) où l’enthousiasme ne brille qu’un temps, et disparaît rapidement.
La formation est emmenée par la flamboyante chanteuse Karen O, tigresse scénique où sa voix de gamine insolente ferait qu‘on lui collerait bien une bonne fessée… Ses 2 acolytes, le guitariste Nick Zinner et le batteur Bryan Chase, se contentent à coups de riffs et de rythmes simples qui ne les empêchent pas d’être efficace, et boostent les chansons avec une dynamique et un son surprenant pour un line-up aussi minimaliste.
Il sera d’ailleurs regrettable que d’aussi bonnes sensations ne soient pas retrouver dans les albums suivants. Une fâcheuse tendance que l’on contaste dans cette vague de « Revival rock » new-yorkais du début des années 2000 (Interpol, The Strokes, The Bravery,…) où l’enthousiasme ne brille qu’un temps, et disparaît rapidement.
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