Sorti le 12 octobre 1999 sur Man's Ruin
Après s’être enfermer seul quelques jours au studio du Rancho De La Luna, Brant Bjork dévoile son premier effort solo qui s’avère être une réussite, et montre une facette inconnue de lui jusque là.
Parfait pour un solitaire du désert, Jalamanta est un album calme et tranquille. On est envouté par la beauté des riffs 70’s et des mélodies psychédéliques qui serpentent tout au long de ce disque quasiment instrumental, et inspire l’humilité et la sagesse autour d’un bon pétard.
Loin des grosses cylindrés Kyuss et Fu Manchu, « Mister Cool » (d’après son surnom) pose ses idées de manière autodidacte ; il décide des instruments, superpose les guitares et les effets (fuzz, wah-wah…), décide chanter quand il en a envie…
Brant agit sans prise de tête, c’est une clef pour ouvrir en grand le mérite d’un album.
Hey bien tu t'améliore mon salaud quand à l'écriture de chroniques (et tu tiens un sacré rythme en ce moment !).
RépondreSupprimerPeut être un peu trop light des fois, ça fait peut être parfois un peu office de "présentation" alors que justement on s'attend parfois à ce que ça soit plus creusé. "Qu'est ce que cet album à de plus que les autres?"...etc
Bien malgré tout, enfin j'ouvre ma gueule et comme d'hab moi je tire au flanc. Mais je vais m'y remettre ces prochains jours. ;p