sorti en 1992 chez Reprise Records
Alors ca c’est comme à la guerre ! Je m’explique: en général, il est plus difficile d’introduire la violence chez une femme, mais une fois qu’elle l’a bien assimilée, ça peut devenir une sacrée machine à tuer.
Eh bien dans le rock, le principe est le même ! Une fois que la gonzesse a pigée qu’il faut se lâcher et vomir ses tripes; elle le fait 2 fois mieux qu’un mec !
Les 3 nanas de Babes In Toyland l’ont bien compris et sérieux, elles envoient sec et donnent de la leçon à pas mal de paires de couilles, notamment avec ce Fontanelle, une pure folie Punk-Garage sortie en 1992, en pleine déferlante du mouvement Grunge.
De plus, ce groupe représente une bonne alternative pour ceux qui comme moi ne supporteraient pas Miss Courtney Love, et le skeud s’ouvre justement sur « Bruise Violet »; une attaque sans ménagement contre la veuve de Kurt Cobain. De quoi bien annoncer les hostilités !
Cet album, produit en collaboration avec Lee Ranaldo de Sonic Youth, mélange agressivité des textes, puissance rageuse des guitares bavant de super riffs à partir 2 ou 3 accords (à la méthode Nirvana), et une basse ronde s’accordant avec un barbare martèlement des fûts.
Mais Kat Bjelland et sa bande savent aussi concilier malicieusement des moments moins énervés qui serpentent dans toute cette fureur car l’on peut y déceler de la ballade pop ( « Won’t Tell » ), du désertique ( « Magick Flute » où la batteuse Lori Barbero s‘empare du micro), du folk Led Zeppelinesque ( « Quiet Room » ), et de sombres complaintes ( « Spun » et le superbe « Gone » noyé entre cris et vaisselle cassée…).
Très franchement, ça vaut le coup d’y jeter une oreille parce qu’il y a de la qualité chez ces 3 Riot Girls de Minneapolis qui ont très bien su comment se réchauffer durant les longs hivers rigoureux du Minnesota.
Eh bien dans le rock, le principe est le même ! Une fois que la gonzesse a pigée qu’il faut se lâcher et vomir ses tripes; elle le fait 2 fois mieux qu’un mec !
Les 3 nanas de Babes In Toyland l’ont bien compris et sérieux, elles envoient sec et donnent de la leçon à pas mal de paires de couilles, notamment avec ce Fontanelle, une pure folie Punk-Garage sortie en 1992, en pleine déferlante du mouvement Grunge.
De plus, ce groupe représente une bonne alternative pour ceux qui comme moi ne supporteraient pas Miss Courtney Love, et le skeud s’ouvre justement sur « Bruise Violet »; une attaque sans ménagement contre la veuve de Kurt Cobain. De quoi bien annoncer les hostilités !
Cet album, produit en collaboration avec Lee Ranaldo de Sonic Youth, mélange agressivité des textes, puissance rageuse des guitares bavant de super riffs à partir 2 ou 3 accords (à la méthode Nirvana), et une basse ronde s’accordant avec un barbare martèlement des fûts.
Mais Kat Bjelland et sa bande savent aussi concilier malicieusement des moments moins énervés qui serpentent dans toute cette fureur car l’on peut y déceler de la ballade pop ( « Won’t Tell » ), du désertique ( « Magick Flute » où la batteuse Lori Barbero s‘empare du micro), du folk Led Zeppelinesque ( « Quiet Room » ), et de sombres complaintes ( « Spun » et le superbe « Gone » noyé entre cris et vaisselle cassée…).
Très franchement, ça vaut le coup d’y jeter une oreille parce qu’il y a de la qualité chez ces 3 Riot Girls de Minneapolis qui ont très bien su comment se réchauffer durant les longs hivers rigoureux du Minnesota.
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