Sorti le 18 juin 1996 sur Geffen
Voilà qui est déconcertant… Pour Derelict ; c’est le souk égyptien…Where It’s At ; j’ai l’impression de voir une salle de casino danser le hip-hop…Ca sniffe un peu de funk sur Devil’s Haircut…Eh pas mal le petit côté Nada Surf sur Ramshsckle…Tandis qu’on attend toujours les Beastie Boys sur High 5 (Rock The castskills) et Novacane…ou pourquoi pas les Pixies sur Minus…
Rock, pop, folk, country, hip-hop, psychédélique, funk, lounge, jazz…Comment fait ce mec pour distiller autant d’univers ? Multi-instrumentiste et seul derrière les manettes de composition, ça doit jouir d’une certaine aisance. N’empêche que chaque morceau reste impeccable sur le fil rouge de la cool attitude qui respire dans ce disque. Odelay est une dose de fraîcheur qui nous donnerait bien la gueule d’un imbécile heureux vu l’énergie positive des chansons.
Le mélange des cultures est ici permis. Beck Hansen est un voyageur, pourquoi reprocher à sa musique de l' être ?!
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